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Marketing & consulting, mode d’emploi.

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L’arsenal d’outils marketing et promotionnels ne cesse de s’étoffer. Aux agences de défricher le terrain et de mettre au service de leurs clients les solutions adéquates pour mieux cerner leurs consommateurs et commercialiser leurs bouteilles. Une agence marketing, à quoi ça sert ? A lancer une nouvelle cuvée, à créer une marque de vin, à moderniser une bouteille d’eau-de-vie, à organiser un évènementiel autour de l’activité oenotouristique, à surfer sur les réseaux sociaux pour oublier que les non-consommateurs de boissons alcoolisées ne cessent d’augmenter ?

Un peu tout ça sans doute à condition de trouver le bon interlocuteur pour cerner vos besoins et savoir y répondre. Un marketing extérieur sert avant tout à une entreprise qui n’a pas cette compétence en interne ou n’a pas les moyens de s’offrir un responsable marketing à l’année. « Dans le vin globalement, un producteur préfèrera forcément créer d’abord un emploi pour mieux maîtriser le commercialisation et la distribution, reconnaît d’emblée Galatée Faivre, créatrice d’I.D Vin.

Quand une société a fait l’effort d’embaucher un bon directeur commercial France, voire un directeur export, il n’a plus de budget pour un directeur marketing et un tel poste sans maquettiste, graphiste ou spécialiste d’internet ne sert à rien ». D’où l’intérêt de faire appel à une agence qui offre une souplesse de contrat et une expertise avec une structure plus légère. Le consultant conseille, l’agence marketing se doit même de suivre l’exécution jusqu’au bout.

Lire le dossier dans la RVI 3884 de décembre 2010.

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