« Les coopératives viticoles ont longtemps surfé sur leur succès en restant individualistes dans leur approche. Elles auraient dû développer depuis longtemps des actions collectives, se donner plus de moyens pour gagner en visibilité. Il était urgent de construire des stratégies d’alliances pour ça. Aujourd’hui, nous avons des fleurons incontestables comme la Chablisienne, Buzet, Wolfberger, Nicolas Feuillatte, Val d’Orbieu à condition de mieux maîtriser la gouvernance… Elles ont une vraie dynamique marketing autour de prix raisonnables et gagnent en notoriété sans avoir besoin de la caution d’un Coffe sur une étiquette. On sort de la période où l’on cachait son appartenance au monde coopératif et on commence même à remettre en avant la démarche, à l’instar de Candia et Daucy… »

Mars 2010.

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