Alors que la superficie viticole mondiale s’est quasiment stabilisée à 7,6 millions d’hectares en 2016 (en progrès d’un millier d’hectares), celle de la Chine a gagné 17 000 ha pour atteindre 847 000 ha.

Un décalage équivalent au retrait du vignoble turc, revenu à 480 000 ha, selon les chiffres publiés par l’OIV.

La Chine conforte ainsi sa place de deuxième vignoble mondial, derrière l’Espagne, mais devant la France et l’Italie.

Mais curieusement l’Empire du Milieu ne se place qu’au sixième rang en termes de production, loin derrière le trio historique européen, les USA et l’Australie. On peut donc penser qu’à force de persévérance, d’investissements et de conseils de wine makers venant d’autres pays, la Chine devrait améliorer sa production viticole. Elle en possède en tout cas le potentiel …