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Bergerac sans complexe.

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Des rouges à revaloriser, des blancs, rosés et moëlleux bien positionnés. Ça les agace, les Bergeracois, quand on les compare à Bordeaux. « La comparaison ne tient plus, notre problème est plutôt le manque de vin, contrairement à Bordeaux. Certes, les prix sont confortés, mais les marchés mal alimentés, ce qui peut laisser la porte ouverte à la concurrence » constate Vincent Bergeon, directeur du CIVRB. L’interprofession souhaite des autorisations de rendements plus importants pour les blancs, alors que l’équilibre est atteint en rouge. Les prix sont stabilisés à un bon niveau pour les moelleux (1050 € le tonneau), les secs et les rosés tiennent également leurs objectifs, la situation est un peu plus tendu pour les rouges, « à cause des voisins bordelais à la baisse, ce qui maintient les prix entre 750/780 € le tonneau, un niveau insuffisant avec un prix de revient avoisinant les 900 € » ajoute Vincent Bergeon….

Lire la suite dans la RVI 3886 de mars 2011.

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