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Bordeaux Bergerac : le volontarisme en marche.

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Initié par le CIVB il y a un an, le plan Bordeaux Demain, sous-titré « la reconquête », est entré dans sa phase active. Plusieurs mesures sont déjà opérationnelles dans les quatre piliers pilotés par Bernard Farges, président de l’ODG des bordeaux et bordeaux supérieur (la compétitivité), David Bolzan, directeur de Cordier (la marque), Laurent Gapenne, président de la Fédération des grands vins (dynamique commerciale) et Allan Sichel, président du négoce (pilotage de la filière. Compétitivité ne signifie pas casse des prix, mais prix rémunérateur en adéquation avec un niveau qualitatif digne de l’appellation.

Mercure, société créée sous l’égide de l’ODG Bordeaux et Bordeaux supérieur, opérationnelle depuis le 14 février, veut répondre à cette problématique, comme l’explique Bernard Farges : « C’est une SAS spécialisée dans le vrac qui assure un prix plancher de 800 € le tonneau, soit une moyenne estimée à 950 €, en garantissant une qualité minima ».

Allan Sichel estime que 500 000 hl sont identifiés aujourd’hui comme premiers prix ciblés par Mercure. Le capital de la SAS est ouvert au négoce, mais aucune société de la place n’y est présente. Selon Rémi Villeneuve, son président, « une quinzaine de négociants sont concernés par le vrac à bas prix, reste à savoir s’ils vont jouer le jeu. » C’est toute la question.

Côté qualité, QualiBordeaux a instauré un système de permis à points inversé : Plus le viticulteur ou le négociant en accumule, plus il est surveillé jusqu’à exclusion par retrait d’habilitation…

Lire la suite dans la RVI 3886 de mars 2011.

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