Bergerac, faible des stocks.
Bergerac, à l’inverse de son voisin bordelais, pourrait manquer de stocks pour approvisionner ses marchés mais peine encore à valoriser ses vins.
Contrairement à son voisin bordelais, le Bergeracois n’a pas de problème de stocks, si ce n’est a contrario qu’ils sont « dramatiquement bas, note Eric Hugot, directeur des études au CIVRB, l’interprofession des vins de Bergerac. Nos vins se vendent bien ; nous avons donc peu de réserves. Pour les blancs secs et les moelleux, nous ne sommes même pas sûrs de faire la jonction avec la récolte suivante et les stocks de bergeracs rouges sont bien faibles pour répondre aux besoins des marchés ». Moins compétitives…
Mars 2010.
Lire la suite …