Les Japonais préfèrent le beaujolais nouveau en PET.
Question de coût bien sûr, le PET permettant de réduire fortement le prix du transport aérien, d’où la pression de certains importateurs japonais qui ont eu vent du souhait des producteurs d’inscrire, dans le cadre de l’ODG, l’obligation d’embouteiller en verre dans le deuxième cahier des charges de l’appellation.
Il est vrai que la bouteille en PET se révèle six à huit fois moins lourde que le verre mais « selon les procédés mono-couche ou multicouches, la qualité de conservation est très différente et le consommateur peut difficilement s’y retrouver, souligne Dominique Capart, président de l’Inter Beaujolais. Mais le PET donne surtout une image dévalorisante du produit…
RVI 3884 – décembre 2010.
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