Laurent-Perrier n’est pas épargné par la crise qui affecte le Champagne : baisse du marché et chute de la production. Le chiffre d’affaires du premier semestre à fin septembre a pourtant augmenté de près de 4% à 95 millions, mais l’effet volume n’y contribue plus que pour 0,8%, en raison d’un recul de 3,3% de cet effet au deuxième trimestre.

L’export, en progrès de 3 points, sauve l’activité et représente près de 77% des ventes globales sur les six mois. Les résultats pâtissent de la baisse du rendement agronomique 2012 et des investissements en communication et développement (bicentenaire de la maison).

Ainsi le résultat opérationnel recule de 22% (15,5 millions) et le résultat net de 27% (6,9 millions).

Janvier 2013