La Provence s’attèle à hiérarchiser ses appellations.
La Provence s’attèle à hiérarchiser ses appellations en faisant émerger des dénominations de terroir qui sont parvenues, en peu de temps, à bien valoriser leurs bouteilles. Il semble loin le temps où les côtes de Provence se demandaient, au moment de lancer ses premières grandes campagnes dans les années 80, s’il fallait communiquer sur le rouge ou le rosé qui représentait déjà près de 60 % de la production (aujourd’hui 89 %) mais qui n’était pas encore considéré comme du « vrai vin » par la plupart des consommateurs. En 2010, personne ne se pose plus la question en Provence, même si certains producteurs ont quelques velléités de faire connaître leurs rouges et leurs blancs au-delà de leurs caveaux…
Juin 2010.