Home»Régions»Le Cercle des Vignerons du Rhône rejoint Rhonéa

Le Cercle des Vignerons du Rhône rejoint Rhonéa

2
Shares
Pinterest Google+

Le Cercle des Vignerons du Rhône rejoint Rhonéa dans une nouvelle union majeure pour les Crus et appellations de la Vallée du Rhône signée le 26 juin dernier … En Mai 2014 les caves coopératives de Vacqueyras et Beaumes de Venise signent un projet d’union et créent Rhonéa, un modèle coopératif novateur centré sur la production et la distribution de vins de la Vallée du Rhône, mettant en avant leurs terroirs, leurs artisans-vignerons et leur engagement dans des pratiques culturales responsables. Au mois de Juillet 2015, les caves coopératives de Rasteau et de Visan s’unissent également pour créer le Cercle des Vignerons du Rhône et mettre en commun leur savoir-faire et leur expertise commerciale, logistique et administrative. La cave de Sablet renforcera cette union en les rejoignant en février 2017.

Le 26 juin 2019, 5 ans et quelques millions de bouteilles plus tard, ces 5 caves, chacune leader de leur appellation, se lancent un nouveau challenge en signant une nouvelle union. Véritable aventure humaine, la création de Rhonéa a toujours eu pour vocation première de s’agrandir, d’accueillir de nouveaux vignerons et de nouvelles caves afin de devenir un pôle coopératif attractif et innovant, un acteur incontournable de la Vallée du Rhône. Dès 2019, le Cercle des Vignerons du Rhône vient renforcer ce collectif et rejoint l’aventure Rhonéa. Cette nouvelle opportunité économique, stratégique et humaine résulte d’un partage de valeurs et d’ambitions entre deux entités à l’ADN et au savoir-faire commun, avec une typologie de production complémentaire, et une expertise de la distribution.

Cette union offre des moyens supplémentaires pour la construction d’une marque forte, déployer et valoriser les terroirs de la Vallée du Rhône, rémunérer le raisin des artisans vignerons pour qu’ils puissent vivre de leur travail. Les enjeux sont majeurs et les ambitions sont multiples : conquérir l’international et gagner en notoriété autour de différentes appellations, consolider ses parts de marchés sur le territoire avec une marque puissante, lisible et porteuse de sens pour le consommateur français, mais aussi fédérer les vignerons autour d’un projet commun et de valeurs fortes via une politique environnementale vertueuse pour soutenir et développer le patrimoine viticole. (…)

Lire l’article complet dans la RVI de septembre-octobre 2019

Previous post

Le design, un atout pour soutenir la croissance du marché des vins rosés

Next post

Concert exceptionnel au Château Sainte Roseline